• AmnésieLe 4 décembre 1998, Lydie décide d'aller faire quelques courses en ville en empruntant la voiture de son père. Sur la route, elle est surprise pas une tempête de neige et au sortir d'un virage elle ne put éviter ce beau jeune homme, tombé sur la chaussé. Saisi d'un sentiment de culpabilité, elle le veille nuit et jours durant son coma surveillé à l'hôpital. Sortit du coma, le voilà incapable de parler, il est totalement amnésique. Lydie l'entraîne chez elle et l'aide à retrouver l'usage de la parole. Peu à peu, ils tombent follement amoureux l'un de l'autre. Il ne retrouva la mémoire que le jour où il tomba sur une photo, celle de l'ancien fiancée de lydie dont elle était follement éprise, qui avait été tué et lynché quelques années auparavant. Elle ne s'est d'ailleurs jamais remise de sa mort. Pourquoi alors ce jeune homme qu'elle avait heurté et aimé ensuite, n'avait retrouvé la mémoire qu'à la simple vision de cette photo???? Tout simplement, c'est le seul visage familier qui lui eut été donné de voir depuis sa sortie de coma. Mais comment pouvait il connaître cet homme sans connaître Lydie?....Et bien, rien a faire de lydie, le jour où il a rencontré ce garçon , c'était juste pour......le tuer

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  • Le conciergeUn concierge travaillant à l'église du quartier, tomba follement amoureux d'une jeune fille qui fréquentait l'établissement. Un jour, elle resta plus tard que les autres paroissiens. Le concierge lui exprima ses intentions lorsque par stupéfaction, la jeune fille refusa ses avances. Vexé, il la ligota et l'enferma dans un antre au sous-sol de l'église.

    Les semaines se changeaient en mois, les mois se changeaient en années pour cette âme accablée qui subissait diverses dégradations aux mains diaboliques de ce lâche. Les paroissiens pensaient que la jeune fille s'était enfuie et éventuellement l'oublièrent à jamais.

    La jeune fille maintenant vieillie par ces années d'incarcération, invoqua en elle un plan d'évasion. Le concierge, dans un état d'ébriété, décida un jour de la détacher. Soudainement, elle le frappa sur la tête avec une roche qu'elle avait cachée derrière son dos. Il tomba et ne bougea point lorsqu'elle réalisa que sa liberté était seulement qu'à quelques pas.

    Elle sortit de son enfer et s'écroula aveuglée par le soleil qu'elle n'avait pas contemplée depuis plusieurs années. Aussitôt, elle se rendit à la première maison pour raconter son histoire. Après quelque temps, le concierge se réveilla et par peur d'être emprisonné, décida de se pendre au plafond à l'aide d'un piano, son pied effleurant légèrement les touches du clavier.

    Depuis ce jour, les voisins déclarent entendre des sons de piano irréguliers et mystérieux émaner de cette église abandonnée.

    Et la fille ??? un mystère, on la voit parfois regarder par la fenêtre avec un sourire satisfait...................

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  • Les correspondances suivantes proviennent d'un incident s'étant déroulé entre un hôtel de Londres et un de ses clients. En dernier lieu, le Directeur de l'hôtel a expédié la totalité du courrier au Sunday Times.

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  • Le presbytère de BorleyLe cas du presbytère de Borley est particulièrement intéressant pour qui veut s'adonner à l'étude ou à la chasse des fantômes car il constitue une référence de tout premier choix, que ce soit au niveau de la multiplicité des phénomènes et de leur nombre (plus de 2000 ont été répertoriés!), celui des antécédents (voir plus bas) difficilement plus évocateurs, la médiatisation de l'événement, les "preuves qui en ont été tirées", les rebondissements de l'affaire, l'intervention de Harry Price, chasseur de fantômes notoire et, sa conclusion. Le presbytère de Borley est, de nos jours encore, considéré comme le lieu le plus hanté d'Angleterre et peut-être même du monde. Ce n'est pas peu dire!

    Situé dans l'Essex, près de la rivière Stour, le presbytère de Borley est un bâtiment assez récent puisqu'il a été construit en 1863 par le révérend Henry Bull. Toutefois, le site sur lequel il fut érigé date, lui, du moyen âge. Il exista là un prieuré que l'on suppose cistercien, ce dont on est certain en revanche, c'est qu'un trésor s'y trouve toujours (à défaut de fantômes, il y a donc de quoi faire...) Il faut noter à ce propos que, contre toute attente, lors de la dissolution des monastères, les biens ne furent pas confisqués mais soigneusement cachés par le prieur et ses moines.

    Avant même de parler du presbytère, on signale déjà une hantise sur le site de ce dernier. L'histoire des lieux est extrêmement riche en drames, meurtres, empoisonnements, et autres "amusettes et joyeusetés"...Ainsi par exemple, on dit qu'une novice du couvent de Bures et un jeune moine du Prieuré de Borley tombèrent amoureux. Ils furent surpris alors qu'ils s'échappaient dans une charrette. Le jeune moine fut puni de mort et la jeune nonne fut condamnée a être emmurée vivante dans la crypte sous le prieuré. Bref, on s'amusait bien, à l'époque!

    La suite des événements n'allait pas être triste non plus. Le 16 Octobre 1930, le révérend Lionel Foyster et sa femme Marianne, emménagèrent au presbytère. Leur séjour ne fut pas de très longue durée puisqu'ils le quittèrent cinq ans plus tard, probablement lassés par les  manifestations paranormales qui s'y seraient déroulées. Par la suite, Marianne raconta que de nombreux événements auraient pu être expliqués de façon rationnelle mais elle fut incapable de les expliquer tous. Par exemple, des inscrptions sur les murs ne reçurent aucune explication.

    Le presbytère avait depuis longtemps acquis sa sinistre réputation lorsqu'il connut des derniers locataires, lesquels se caractérisaient par leur scepticisme à toute épreuve. Le capitaine William Gregson et les siens durent pourtant bien changer d'avis.

    Le presbytère de Borley fut la proie des flammes pendant la nuit du 27 au 28 Février 1939. Nullement décontenancés pour autant, les fantômes se seraient manifestés en face de la route, dans l'église de Borley où ils ne semblaient donc pas non plus découragés par la vocation de l'édifice.

    Plusieurs personnes prirent des photos parfois très énigmatiques de certaines apparitions. Il s'agit de la photo de "la brique flottante" qui aurait en fait été portée par un esprit aux dires d'observateurs nantis d'une meilleure vue, ou celle du vieil homme voûté, mais il est difficile de se prononcer au vu de la qualité des clichés. Il existe cependant des éléments beaucoup plus récents: David Bamber prit une photo en 1995 semblant montrer Harry Price par-dessus une pierre tombale. Si on regarde de près. Il revint en 1999, avec une photo de ce qui pouvait passer pour une silhouette dans les arbres. Le photographe Dick Gee ne peut pas expliquer comment il se fait qu'une photo qu'il a prise dans l'église présente une sorte de "brouillard" en son milieu.

    Mais l'étude du presbytère de Borley ne se limite pas à cela. Les trouvailles historiques deviennent de plus en plus intéressantes: ainsi, on remarque non seulement que les lieux ne sont pas hantés par un seul fantôme mais plusieurs, dont celui de son premier vicaire, le révérend Henry Bull. Un soir, peu après y avoir aménagé, l'un des enfants du révérend est giflé au visage par une main invisible. Un autre enfant dira avoir vu un homme habillé «à l'ancienne» qui se tenait debout près de son lit. On y signale aussi un attelage que l'on entend galoper dans l'allée (la charrette de la nonne et de son parti?). Les circonstances même de l'incendie su presbytère sont elles aussi mystérieuses et ne seront d'ailleurs jamais expliquées. Dans les ruines de l'incendie, on retrouva un squelette de femme enterré dans la cave. Celui de la religieuse assassinée ?
    Mais ce n'est pas encore tout: poltergeist; portes arrachées, volets brisées, lueurs étranges, sons terrifiants, pluies de pierres, déplacements inexplicables des meubles, etc... à défaut de saut à l'élastique, le touriste y trouvera donc tout ce qu'il faut pour faire son bonheur pourvu qu'il soit amateur de sensations fortes.
    Harry Price, le célèbre chasseur de fantômes qui avait démasqué tant de faux médiums, élucidé tant de fausses hantises, a aussi offert son propre témoignage, étayé de minutieuses constatations. Pour l'occasion, un appareillage moderne avait été employé: enregistreurs caméras, circuit infra-rouge. Pour lui qui était donc un éminent spécialiste de la question (son étude fit d'ailleurs l'objet d'un film: "Qui hante le presbytère de Borley?") il n'y avait pas à tergiverser: les lieux étaient bel et bien hantés et constituaient même l'une des plus évidentes preuves de l'existence des fantômes.
    Peut-être pour alimenter la controverse, on accusa Harry Price d'avoir amplifié les événements insolites du presbytère. L'affaire rebondit en 1958 avec les révélations de Marianne Foyster, qui confia à des chercheurs que toutes ces manifestations n'étaient qu'une mise en scène. C'est elle et son défunt époux qui, disait-t-elle alors, étaient derrière chaque coup frappé à Borley. Le commun des mortels croit alors être rasséréné: mais non! voyons! Les fantômes n'existent pas! On vous l'avait bien dit...
    Seulement, les Foyster n'étaient pas encore sur place, ni même seulement au monde alors que les lieux étaient déjà réputés hantés. Ils n'ont pas pu expliquer eux-mêmes tous les phénomènes. Avant même la construction du presbytère, un sentier menant à l'église était connu sous le nom du «sentier de la nonne», à cause justement du fantôme d'une religieuse qui y avait maintes fois été aperçu.
    Et puis... il reste que, de nos jours encore, l'église de Borley est le théâtre de manifestations étranges. C'est du moins ce que l'on dit.

    Nous avons effectué quelques recherches et notamment trouvé une liste des fantômes possibles au presbytère. Vous trouverez ci-dessous une liste des noms ou rôles de personnes ayant connu une fin tragique (traduit de l'anglais, il peut subsister certaines approximations ou erreurs):

    1. La nonne - emmurée vivante
    2. Le moine - pendu ou décapité
    3-4. un ou deux cochers - pendus ou décapités
    5. Simon de Sudbury - décapité le 14 juin 1381
    6. Sir Edward Waldegrave - mort, Tour de Londres, 1 Septembre 1561
    7. John Deeks - très désagréable ministère de 1642-60
    8. Cavalier loyaliste - échappé de la bataille de Borley, il fut trouvé et tué.
    9. Prêtre catholique (Dominic ou Enoch) - crucifié
    10. sa "compagne", une nonne - assassinée
    11. Marie Lairre - étranglée par Charles Waldegrave, 17 Mai 1667
    12. Arabella Waldegrave - assassinée par sa mère, Henrietta 1697
    13. Henrietta Waldegrave - assassinée par Nicholas Waldegrave, 1730
    14. "Cris perçants de fille" - défenestrée de la chambre bleue
    15-16. deux cochers - exécutés pour meurtre
    17. Katie Boreham - étranglée par Harry E. 1888
    18. Harry Bull empoisonnée par sa femme, Ivy.
    19. Lionel Foyster - empoisonné
    20. Harry Price - diffamé.

    NB: La voyante Lilian Bailey a reçu un message de Harry Price après sa mort. Il disait: "Le presbytère est vraiment hanté, Borley le prouvera de lui-même et je serai vengé, même si pour ce faire, je dois y revenir et m'y manifester moi-même..."
    Malheureusement, cette dernière phrase peut également s'interpréter de deux manières fondamentalement différentes:
    L'interprétation fantastique:
    En dénigrant Price, on lui a donné une "raison" de se transformer en fantôme après sa mort. En effet, il est mort en conservant une rancune tenace vis-à-vis de l'opprobre qu'on lui a causé (sous-entendu, ce qu'il disait était vrai et le presbytère était donc bel et bien hanté. De toute façon, dans le cas contraire, s'il ne l'était pas, maintenant, il le sera!
    L'interprétation rationnelle:
    Harry Price était certes convaincu que le presbytère était hanté. Il l'était d'autant plus qu'il voulait y croire. Ce n'était donc qu'une forme d'auto-persuasion qu'il a essayé de communiquer.

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  • CannibalismePère de famille de six enfants , cinq fois grand père , Hamilton Albert Fish , est arrêté en 1934 et incarcéré à la prison de Westchester . Il a 64 ans et derrière lui une vie entièrement dévouée aux perversions sexuelles sous toutes les formes . Pornographie , fétichisme , voyeurisme , sadisme , masochisme , flagellation active , autocastration , bestialité , prostitution , coprophilie , coprophagie , et bien sûr , cannibalisme . Un grand nombre de spécialistes du comportement se sont penchés sur cette existence hors du commun et tous considèrent cet individu , initié à la masturbation dès l'âge de 5 ans , et attiré par le sado-masochisme deux ans plus tard , comme l'un des plus grands pervers de l'histoire du crime .

    On ne sait pas exactement combien de victimes il a à son actif . Lui-même en avoué une centaine aux enquêteurs . Bien qu'il n'ait été jugé que pour seize crimes prouvés , le juge d'instruction chargé de son dossier considérait ce chiffre comme hautement probable . Son psychiatre de l'époque , le Dr Frederick Westham , avec qui Albert Fish noua des relations de confiance réelles et profondes , pense qu'à son avis ce nombre dépassait 400 . Ce qui , dans ce cas , propulserait ce cannibale mangeur d'enfants au rang du plus grand criminel de tous les temps .

    Sa technique est à peu près toujours la même . Il séduit les enfants en leur offrant des bonbons ou quelques pièces de monnaie . Son pouvoir de séduction sur les gosses est réel et il les emmène sans trop de difficulté dans des caves , des maisons abandonnées , des lieux retirés repérés à l'avance , et bien sûr , chez lui lorsque c'est possible . Il les réduit à l'impuissance soit en les attachant , soit en les mutilant avant de les violer , de les battre , et enfin de les tuer . Souvent il les torture plusieurs jours de suite avant de les achever . Il ne les bâillonne que lorsque il estime sa sécurité en jeu , car dit-il , "Je préfère de beaucoup les entendre hurler de douleur ." il choisit ses petites victimes de préférence parmi la population noire des ghettos car il a remarqué "que les autorités ne s'inquiètent guère de la disparition d'enfants noirs ".

    Parmi la multitude d'atrocités qui s'égrainent au fil des audiences , relevons certains cas :

    A propos du cas du petit Billy Gaffney : "Je l'ai fouetté jusqu'à ce que le sang coule sur ses jambes , J'ai coupé les oreilles et le nez , agrandi la bouche d'une oreille à l'autre , sorti les yeux des orbites .(...)Enfoncé le couteau dans le ventre et y ai placé ma bouche pour boire le sang . Puis je l'ai démembré , et j'ai coupé le tronc au-dessus du nombril , et les jambes à environ cinq centimètres en dessous de son derrière . Après j'ai tranché la tête , les pieds , les bras et les jambes au-dessus du genou .(...)Je suis rentré chez moi en emportant de la viande , mes morceaux préférés , son sexe , ses rognons , et un délicieux petit derrière bien grassouillet pour le rôtir au four et le dévorer . J'ai préparé un ragoût avec ses oreilles , son nez , des morceaux de visage et du ventre . J'y ai mis des oignons , des carottes , des navets , du céleri . C'était bon ! Les fesses , je les ai coupées en deux , et mises sur un plat avec sur chacune des lanières de bacon .(...)J'ai versé un demi-litre d'eau pour le jus de la sauce avant d'y mettre des oignons . (...)A intervalles fréquents , j'ai arrosé de jus son derrière avec une cuillère en bois afin que la viande soit juteuse .(...)Jamais je n'ai mangé une dinde rôtie qui ait été la moitié aussi excellente que ce délicieux petit cul grassouillet .(...)J'en ai mangé pendant quatre jours . Par contre , ses petites roubignolles étaient trop dures . je n'arrivais pas à les mâcher . Je les ai jetés dans les toilettes .(...)

    Grace Budd , 10 ans . Il "emprunte" la fillette à se parents , leur faisant croire à une fête d'anniversaire -Ils ne reverrons jamais plus leur enfant -

    Il emmène la fillette avec lui à la gare et tous deux prennent le train pour Westchester . Arrivés à destination , ils se rendent à Greenbourgh . Albert Fish y a repéré depuis longtemps une maison à l'écart , près d'un bois , abandonnée depuis plusieurs années . Depuis le matin , il porte sur lui un paquet . C'est ce qu'il appelle lui-même "les instruments de l'enfer" , une scie , un hachoir et un couteau à désosser de boucher . Tandis que la gamine cueille quelques fleurs dans le jardin , il monte au premier , se déshabille pour éviter les éclaboussures de sang et l'appelle par la fenêtre . Elle monte . Immédiatement , il s'en saisit , la bat et la saigne . Il recueille le sang qui gicle de la gorge dans un vieux bidon de vingt litres . Il coupe ensuite le corps en trois : la tête , et le tronc sectionné en deux au niveau du nombril . Il prélève quelques morceaux de chair sur les avant-bras et rentre chez lui les préparer avec des carottes et des pommes de terre , non sans avoir ajouté un bouillon kub . Pendant plus d'une semaine , il va retourner tous les jours à la maison abandonnée se réapprovisionner en chair et organes humains , qu'il ramène à son domicile et mange après préparation , allongé sur son lit . Au bout de quelques jours , le cadavre éparpillé de la petite fille commence à faisander et des centaines de mouches y font leurs oeuvres . Aucune importance , il ne cesse de varier les recettes . "Ces repas me mettent dans un état d'orgasme perpétuel ."

    Le porte-parole de la police admet qu'Albert Fish a été interrogé à plusieurs reprises sur des disparitions d'enfants mais qu'il n'a jamais été vraiment suspecté . "C'était de la routine , il avait l'air tellement inoffensif ..." "Cet homme n'est pas fou , pas dangereux pour la société , même s'il présente une personnalité psychopathique à caractère sexuel ..."

    Des journaux se déchaînent : " Pas dangereux , cet homme qui se promène en hurlant :"Heureux soit celui qui fracasse le crâne des petits enfants" ou "Il faut que je sacrifie des enfants , comme Abraham son fils Isaac , pour me faire pardonner mes pêchés ."

    Pas fou , un individu qui dit vouloir manger de la chair humaine les jours de pleine lune ? Pas fou ni dangereux , cet homme qui s'introduit des carottes et des saucisses dans le derrière avant de les manger ? Qui s'introduit des cotons imbibés d'essence dans l'anus avant d'y mettre le feu ? Qui se fouette au sang avec une planche truffée de clous ?

    La profession de psychiatre connut pendant quelques mois aux Etats Unis une forte baisse de considération . Malgré les traces évidentes de sa complète désorganisation mentale , Albert Fish est électrocuté le 16 février 1936 .

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